La grand Nord

La vue était incroyable, tant de neige et de glace mais si peu de lumière. Malheureusement, le groupe devra s'habituer à cette luminosité faible, car jamais elle ne changera. Le vent soufflait, emportant avec lui de la neige poudreuse qui fouettait la visage de Psychée qui ne montrait aucun signe de faiblesse. Au loin, les glaciers dominaient presque le ciel. Il y avait un igloo à leur gauche, d'où s'échappait une fumée de la cheminé artisanal.

-Bien, placez vous en ligne devant moi, j'ai quelques objets utillent à vous offrir.

Elle attendit que son groupe se positionne.

Aimée arriva après avoir mie son manteau.

OKÉ! Et ces quoi ses object.Dit-elle ayant retrouvé son air enjoué.

Yuna arriva derriere Aimée .. enfila son manteau tellement que laire glacial lui faisait des frissons!

Wow.. Il fait froid!! Sa fait different de la foret ancestrale!..

Aimée ne parlais pas beaucoup, mais observait tout de même. En voyant Maxence entrée dans le capuchon de Jean-luc elle ressentie un peu de jalousie.. Pourquoi celui qu'elle aimais l'avait-elle repoussé ELLE? En observant ses deux confrère de voyage, elle les trouva mignon tout de même et soubçonna des sentiment de la part de la jeune fée. Puis se retournant vers Maelys elle demanda:

Bon d'accord on est arrivé, et maintenent par ou on vas?

Jean-Luc frissona du bout de ses poils de gros orteils jusqu'à sa moustache qui frémit de déplaisir. Il enfila immédiatement son énorme manteau de fourrure, qui malheureusement, n'était pas agencé à la teinte de son appendice capillaire labial. Puis il intégra Maxence à son code vestimentaire avant de se tourner vers Psychée.

Par où orienterons-nous notre diligence salvatrice de fissure céleste?

-Pour commencer, vous allez avoir besoin de tout le contenu de ce sac.
Elle sortit au fur et à mesure les objets en les nommant;

-Combustible pour le feu, couvertures, nourriture séchée, silex et amorce, des paillasses, une corde et des lampes à huile. Elle regarda dans le sac. Il me manque quelque chose.

Elle fouilla dans sa tunique. Elle en sortit deux feuilles de parchemin.

-Ceci est la carte des lieux, elle vous aidera à vous orienter. À vous de choisir une personne qui saura bien gérer cette tâche. Et ceci, c'est votre porte de sortit, il ne vous suffira que de le déchirer pour crée un portail qui vous conduira à l'arbre de la vie. L'igloo qui est derrière, est votre campement pour la nuit ou plus longtemps cela dépendra de vous. Vous devrez choisir une personne qui transportera l'équipement et quelqu'un qui portera avec grand soin le parchemin du portail. J'attends de vous le plus que vous pouvez offrir, rester uni et soyez sur vos gardes. lorsque le froid s'installe, la folie peut vous posséder.

Sur ce Psychée disparut pour de bon en emportant avec elle le portail.

(votre quête est maintenant commencé )

Maelys regarda sa troupe avec entrain et désaroit a la fois.Elle débuta par mettre sont manteau que nécéssite Maelys à l'instant.Elle ajouta un peu perplexe:

- Alors, Qui se porte volontiers pour transporter le matériel, ou la carte ?..

Jean-Luc fit un pas devant.

Je me porte volontier comme cartographe à temps plein, ma chouette.

Maelys sourit a Jean-Luc puis ajouta :
- Parfait !..Alors pour le matériel..nous pourions tous nous échangés a tour de rôle..Cest une idée, non ?

Jean-Luc, quelques peu surprit, répondit à Maelys:

L'échangisme ne fait pas parti de mes valeurs, ma chouette. Le choix de vos divergences requiert votre unique rationnalité, seulement, je crois que chacun n'aura qu'à coltiner son pacson auto-personnel. Sur ce, je souhaite bon sommeil paradoxal à tous!

Jean-Luc prit ses affaires, puis s'agenouilla afin d'entrer dans l'igloo et y trouver repos.

Au matin Aimée se réveilla avant tout le monde et alla tapoté l'épaule de Jean-luc qui dormait encore a côté de la fée.

Pssit! Jean-luc, ta quelque chose pour faire a manger.. Ah désolé de te réveillé, je suis plutôt matinale et bon, j'ai faim et vue que ces toi qui a le matériel.chuchota-t-elle.

Autour d'eux on n'entendait que le ronflement des 3 autres qui dormaient encore.

Jean-Luc ouvrit très étrangement et extrêmement grand les yeux, psychotiquement, il fixa longuement Aimée, puis il cracha avec toute la force de ses poumons:

TOUT LE MONDE DEBOUT! L'aventure nous attend! Seulement, sa patience à peut-être des limites! N'en abusons pas!

Jean-Luc, à quatre pattes, se mit à chercher frénétiquement de quoi nourrir quatre compagnons affamés. Avec son expertise indescriptible, il alluma un feu en un rien de temps et y déposa une petite marmite. Il y versa de l'eau, des légumes semblant plutôt avariés, du pain sec et du riz. Il laissa mijoté, puis ajouta du sel, ainsi que quelques épices et fines herbes de sa collection personnelle. Il mélangea le tout à l'aide d'une cuillère en bois, puis y trempa quatre bols, qu'il remit à chacune de ses camarades: Voilà pour vous, gente chouette, dit-il à l'adresse de Maelys. Puis, il tendit deux bols aux deux elfes: Miss Yuna, Aimée. C'est alors qu'il se tourna vers Maxence, ou plutôt, se pencha, et lui tendit l'énorme bol: Voilà pour la nymphe féérique. Vu votre taille disons, euh... hors du commun (ne voulant pas insulter la liliputienne), je prendrai le reste si ça ne dérange personne. Ils mangèrent tous ce qui s'avéra être une soupe... (se fiant au mines rébarbatives) disons seulement en déça du niveau de génie newtonien de la gastronomie. Jean-Luc l'avala, quant à lui, d'un seul trait.

Bien, maintenant que notre nerf optique s'est adapté à ces matinals rayons ultra-violets, je crois que nous devrions partir aussitôt, dit Jean-Luc, tout en empilant ses effets personnels dans son sac.

Aimée avala son bol de soupe, elle avait les yeux rouge a cause des larmes qui n'avait pas cesser de couler durant la nuit. Elle essaya de ne plus y pensé. Elle avait été réveillé Jean-luc d'abord en espèrant avoir un peux de réconfort mais un homme reste un homme. Il l'avait surpris a crier dans son visage comme un forcenée. Elle bouda un peu dans son coin puis ce leva en étouffant les sanglot qui lui montait à la gorge.

Jean-luc à raison partons, déjà le jour il ne fait pas clair, la nuit nous ne pourrons pas marcher dans le noir, on y vois rien.

Puis cachant ses yeux avec ses cheveux pour ne pas que Yuna la remarque elle commença à rammasé son matériel.

Maelys, Se réveilla en sursaut ! Son émotions de surprise s'évapora bien vite avec la douce odeur de nourriture.Quoi de mieux pour commencer une belle journée !Elle fini son bol de soupe en quelques instant, Puis regarda le fier cartographe et ajouta :

-Alors Sir, Dites-moi donc ! Maintenant que vous avez la carte , dites nous part ou devrions-nous allés ?

Puis toujours en le fixant, Avec un des plus sincère et adorable sourrir, elle empacta son matériel.

oh... vous pouvez pas me laisser dormir encore un peu!!

Au contraire de Aimée, Yuna était une fille qui aimait la grace matiner.. mais bon.. elle n'a pas le choix.. le devoir l'attend. elle se leva, s'étira, s'assi auprès des ses nouveaux compagnons de voyage et commenca a manger sa soupe...

Aimée qui était déjà debout et prette a partir vit Maxence qui dormait encore caché sous des couvertures. Se rendant près d'elle elle hurla!

NON MAIS TA PAS FINNI DE DORMIR! POUR QUEL QUUN QUI DISAIT ÊTRE PRESSER D'AVENTURE TES LENTES JTROUVE!

Cette attaque envers la fée surprena tout le monde. Aimée et ces saute d'humeur parfois...

Maelys regarda avec surprise Aimée.Elle ajouta d'une voix calme et douce :

- Aimée, Voyons, Ce n'est surtout pas le temps de vous mettre toute les deux l'une contre l'autre !Qu'es qui ne va pas ?!..

Aimée se retourna vers elle pour détourné le regard aussitôt, elle chercha de l'aide des yeux quel qu'un qui aurait pu répondre une connerie du genre: elle ne file pas tout simplement. Elle croisa le ragard de Jean-luc et de Yuna puis celui de Maxence toute endormie. Elle s'excusa auprès d'elle.

Désolé Maxence j'aime pas lé faignant au lit, je me suis emporté pour rien, c'est bon?Dit-elle a l'intention du groupe.

S'adressant à Aimée:

Pas de bisbille ma chère, mais les emportements de la sorte font entraves au bien-être spirituel du groupe. Je ne crois pas que Maxence vous en voudra pour autant, et d'objection je n'y vois pas si vous faites usage de cette férocité bestiale et sauvage uniquement face aux créatures nauséabondes et perfides futures, dit-il, lui souriant légèrement. Vu l'ébauche de soi-disante carte que m'a offerte cette vaillante Psychée, nous devrions partir... Il leva le doigt en l'air, penchant légèrement d'un côté, puis changeant subtilement de direction, droite, gauche, devant, gauche, derrière... pour finalement pointer triomphalement vers ce qui s'avérait être une étendue blanche désertique... Par là!

En marche compagnonnes! Si vous faites bien attention, une mousse verdâtre nous apparaît au loin, c'est un petit bosquet qui nous mènera à une banquise, peut-être y trouverons-nous traces de débris astrals!

Maxence la fée s'ayant faufilé en-dessous de son chapeau à plume, Jean-Luc pressa immédiatement le pas vers ce qui semblait être une véritable nuée blanche sans horizon.