l'arrivé d'un garde

Lorsqu'il s'agit de la premiere fois qu'ils voient un garde de trahe, la plupart des gens sont surpris, certains ne semble même pas comprendre leur vrai nature et se contente de croire qu'il s'agit d'un combatant maudit ou d'un simple mort-vivant.

Et c'est ce qui arriva ce jour-ci

Balmung rentra dans la belle Lithy transportant ce qui semblait aux habitants etre un cadavre en parfait état d'un grand homme qui semblait avoir été concu pour le combat, comment celui-ci avait-it pu être vaincu et surtout, par qui?

-Nous y voila, Orca, maintenant tu vas pouvoir te reposer...et moi aussi, tu sais tu devrais perdre du poid hahaha...ouais...comme si c'était possible...

Balmung s'assoit sur le sol et dépose l'armure Orca à coté de lui

-Voila, tu serras mieux installé comme ca, maintenant il nous suffit de trouver quelqu'un qui veux bien nous vendre un endroit ou vivre, je sais ce que u penses et non, on ne va pas voler cette maison, on ne veut quand même pas se faire détester des notre arrivé en ville...nous ne sommes pas Othia!

Al se dirigeait vers le marché, pour tenter de voir si un honnête marchand n'avait pas quelques matériaux à vendre pour pas cher. Ses bottes de cuir frappait le pavé de la vieille Lilthy avec un claquement régulier et hypnotisant. Ses idées vagabondaient sur son prochain projet, peu importe ce qu'il était.

Son oeil connaisseur accrocha alors une vision intéressante. Un homme vêtu d'une magnifique armure venait d'en déposer un autre, semblable, par terre. Il se demandait sincérement comment quelqu'un pouvait porter une telle armure, et une autre identique a bout de bras en plus. Il y avait deux hypothèses. Soit l'homme était terriblement fort, soit l'armure était très légère. Alzed espérait fortement la deuxième option.

Laissant tomber son magasinage, il se dirigea vers les deux hommes.

Besoin d'aide monseigneur?

-en fait...oui, je cherche désespérément un endroit ou déposer mon cher ami que voici.

Balmung se releva et tandit la main à l'étranger

-Je m'appel Balmung et si vous avez un tel endroit et que vous acceptez de me le prêter, je vous promet que je ferrais tout ce qui est en mon pouvoir pour vous remercier

Al afficha un grand sourire en lui tendant la main. Il espérait pouvoir percer le mystère de l'armure. Il se demandait seulement si il arriverait à leurs faire une petite place dans son atelier. Il n'avait rien à perdre d'essayer, des voleurs ne se tiendrait pas dans d'aussi grosses armures, ça n'avait pas de sens. Il serra vigoureusement la main de l'homme.

Je suis Alzed Biorvik, façonneur d'objets magiques. J'ai un atelier un peu plus loin dans le quartier, peut-être, pourrais-je vous y trouver une petite place pour un jour ou deux, en attendant que vous ne trouviez quelque chose de plus convenable. Je vous demanderez seulement de ne toucher à rien et de ne pas me déranger si j'ai à travailler. De plus, je vais vous avouer, votre armure et celle de votre ami m'intrigue beaucoup. Elles semblent de qualité supérieure et j'aimerais bien les étudier un peu, si vous êtes d'accord.

Il se mit a marcher vers une allée transversale à celle ou ils se trouvaient.

Venez, c'est par ici.

-je veux bien vous laisser étudier notre armure mais vous devez savoir que je ne peux enlever celle-ci et donc vous devrez en étudier que l'extérieur

Balmung suivit Alzed

*Elle venait de quitter le petit quartier douillet pour entrer dans le vrai monde, elle se surprenait encore de s'être volontairement aventuré dans un endroit remplit d'âme en détresse. Elle voulait tous les aider mais ils étaient trop nombreux, d'ailleurs elle n'avait apporté que l'essentiel, des armes, de la nourriture, un souvenir de sa famille, une lettre diplomatique et deux robe confortable, mieux que de se promener toujours en armure. Elle dévalait les rues, habiller de sa robe en cierge gris, jettant des regards un peu partout. Talhya espèrait savoir pourquoi ses jambes l'avaient guidés ici, elle ne voyait aucun signe. Toujours en tirant sa monture derrière elle, l'exploration des environs l'envoutait. Elle était révolter par les conditions de vie des villageois. Elle regardait les gens, comparant avec sa vie, elle se dégoûtait.*

"Pourquoi , Dieu, dites moi pourquoi il y a des pauvres et des riches! Si tout les bourgeois et nobles aidaient, il n'y aurait plus de misère! Dieu Veillez sur ses gens, ils ont bien plus besoins de Vous que nous..." *se dit-elle silencieusement en prière.*

*Suite Chez Alzed*

Amras d’un pas léger mais puissant, traversait la place des commerces de la grande cité de Lilthy. Son long manteau noir lui recouvrant la totalité, lui apportait un aspect étrange et menaçant. Ses armes n’étant pas caché, elles laissaient une crainte dans le creux des yeux du monde l’approchant tout en marchant. Une jeune femme n’ayant pas vraiment regarder ou elle allait, se retrouva par terre après un cri de peur. Elle était tomber nez à nez avec Amras, après quelle soit sortit d’une ruelle.

Ayant plus fait peur a la jeune femme qu’autre chose, Amras ne fit que la regarder et passer son chemin sans l’aider. Quelques hommes présent l’avaient regarder d’une manière haineuse, sans pour autant lui faire face. Le lycant passa son chemin et s’arrêta devant un kiosque de marchant d’arme extravagant. Un homme assez costaud regardait les armes disponible et bavait devant leurs splendeurs. Amras vint se placer à coter de lui et fit semblant de regarder les armes, semblant car il savait à vue d’œil que c’est armes avaient été conçue pour la décoration et non pour les combats.

Le marchant qui vendait les armes se frottait discrètement les mains, car il pensait escroquer encore une fois, un homme sans expérience dans le choix des armes. L’homme voulant acheter, finit par prendre une longue lame et la manier légèrement.

- Je pense que je vais choisir celle-ci !

- Vous faite un très bon choix messire ! * Tout en se frottant les mains *

Amras regarda l’homme du coin de l’œil et sourit en coin en disant.

- Vous faite une très grave erreur en achetant ce produit …

- Et pourquoi sa ! Je ne pense pas que vous ayez une meilleure connaissance que moi dans ce domaine …

- Et bien moi je pense que oui … * Prend la lame dans les mains de l’homme * Premièrement … Si vous seriez si fin connaisseur, vous ne vous seriez pas juste contenté de la beauté de l’arme… car cette arme est tout a fait inutile pour un combat. Premièrement, la lame est mal fixé… Deuxièmement, la lame est croche et Troisièmement vous êtes un amateur * Lui relance l’arme *

Sur ce, Amras quitta le kiosque en riant tout bas de l’homme, car bientôt il allait se faire avoir. L’homme venant de pratiquement se faire humilié, voulu se faire justice et tenta de frapper Amras à revers. Sans vraiment être surpris, Amras se retourna d’un coup en fracassant la lame de l’homme avec l’une de ses rapière habilement ouvragé. L’épée décoratrice ce brisa en éclat, quand t’a Amras il remit sa rapière en place et quitta en disant.

- Je vous l’avais dit … Vous êtes un amateur …

Sans attendre, l’homme venant de se faire pratiquement escroquer, retourna au kiosque et se mit à harceler le vendeur, en criant qu’il était un escroc. Amras se mit à rire et repris son chemin et c’est en quittant la place du kiosque qu’il croisa une jeune femme en armure scintillante. Gardant son calme, Amras continuant son chemin … n’ayant pas vraiment grand chose a se reprocher … sauf la bête en lui.

À travers les multiples éclats de voix, elle n'arrivait presque plus à penser, où allait-elle comme ça? Pourquoi, mais pourquoi s'était-elle dirigé vers un tel endroit? Tout ce vacarme était agressant, mais que se passait-il pour que ce soit aussi intolérable? Elle entendit des protestations et des cris elle avança rapidement vers ce lieu. Elle fit attention pour ne bousculer personne en chemin. Elle déboucha devant la final de l'affrontement, mais il y avait pas grand choses à faire, tout s'était déjà déroulé et conclu, aucun blessé, aucun mort. Un homme costaud hurlait après un marchant, et l'autre qui l'avait affronté plus tôt quittait la scène en ricannant. Talhya n'avait pas vraiment envie de servir de juge entre les deux ni même de savoir l'objet de tout ceci, il ne lui restait rien à faire d'autre que poursuivre son chemin sans poser de question. Si quelqu'un aurait été en danger, elle s'y aurait interposé, elle devait tout simplement passer son chemin et espérer qu'elle ai pris la bonne décision.

Elle fut prise d'un malaise, elle sentait un mauvais présage. L'homme qui venait de partir, elle n'aimait pas se sentiment, cet homme dégageait quelque chose de mal. Elle avait envie d'en savoir plus sur lui, elle avait aussi envie de partir très loin. Elle trouvait cela mal poli d'intercepter quelqu'un comme cela surtout pour le questionner.

L'homme passa devant elle. Elle tira sa monture et repartit d'où elle avait presque accourut.

Amras avait continué son chemin sans trop se préoccuper de la jeune femme, honorablement vêtis. Avec l'apparence que cette jeune femme avait, Amras se doutait qu'elle devait sois appartenir à une noble ligné ou faire parti d'un culte de sainte personnes. C'est même personne qui se prétendent défenseur de dieu parce qu'il disait de belle parole et protégeait veuve et orphelin. Baliverne, Amras ne croyait tout simplement pas en l'existence d'un être supérieur. Pour lui, tous et chacun étaient chef de son propre destin. Quand Amras c'était retrouvé cote à cote alors la jeune femme, il avait ressentit un regard sur sa personne, mais avait décidé de ne pas lui renvoyer l'ascenseur. Il avait tout bonnement passé près d'elle pour se diriger vers un autre kiosque.

Au plus profond de lui-même, son instinct le poussait à supprimer cette jeune femme. Pourquoi la supprimer, parce qu'il se trouvait déjà poursuivit par un être '' saint '' après une transformation lui ayant sauvé la vie. Il du faire face a une milice complète après un règlement de compte dans un petit village. La personne lui avait demandé de lui rapporter de la viande pour vendre et ne l'avait pas payer. Amras lui balança tout bonnement son poing au visage se qui tourna en affrontement en plein milieu du village au coucher du soleil. Bref, son instinct lui disait de supprimer cette jeune femme, mais Amras ne fit tout simplement rien.

En passa près d'un kiosque, Amras arrêta tout bonnement en plein milieu de la rue. Il semblait écouter une conversation, mais il y avait tellement de bruit qu'un humain normal n'aurais jamais pu entendre ces paroles. Il finit même par avancer vers un kiosque de fruit et légume et entra sans gène dans la demeure des personnes qui gagnaient leur vie en vendant ces produits. À l'intérieur de la demeure, un mari était sur le point de battre sa femme car, elle ne fessait pas assez de vente.

- Je te nourris ! Je te loge ! Je pais tes vêtements et toi tu n'es même pas capable de vendre des fruits et des légumes !

- Mais … mais … Je fais ce que je peu pour vendre nos produits. À plusieurs reprises on ma dit que nos fruits et légumes étaient trop cher … C'est par ce fait … que nous ne vendons rien …

- Nos produits sont peut-être cher mes ils sont de qualités supérieur …

- Tu n'es qu'un imbécile … Nous ne vendrons jamais rien … si tu ne baisse pas tes prix …

- Viendrais tu de traiter ton propre mari d'imbécile... Tu n'es qu'une ... * Bruit de claque *

Au moment ou l'homme s'apprêtait à battre sa jeune femme, Amras débarqua dans la cuisine et fixa l'homme d'un regard meurtrier. Le mari de la jeune femme regarda le chasseur et ne comprenait vraiment pas ce qu'Amras fessait dans sa cuisine. La jeune femme au sol, en profita pour faire de la distance entre elle et son mari. L'homme de la maison pris la parole face au chasseur.

- Qui vous a autorisé à entrer dans ma demeure ! Si ou êtes la pour acheter nos produit c'est dehors que ça se passe... J'ai quelque chose à faire et je vous rejoins !

- * Regarde l'homme avec un regard noir * Oser toucher encore une autre fois de manière non civilisé a ta femme et je te ferai avalé la totalité de tes fruits immangeable!

- Non mais pour qui vous vous prenez ! Je suis chez moi ici et elle est ma femme je ferai ce que je veux !

L'homme avança vers sa femme et quand il vint pour la prendre de force il fut trop tard. C'est dans la rue, après avoir traversé de manière assez brutale son kiosque maintenant en morceau, que l'homme se retrouva au sol quelques peu déboussolé. Les fruits et légumes se retrouvaient maintenant éparpillé au sol, voir même écrasé sous les pas d'Amras. Le Lycant avançait maintenant vers l'homme avec un regard noir, sous le regard même des autres citoyens quelque peu apeuré par situation. Amras finit par attraper l'homme par le bout du collet et lui dit.

- Retouche simplement un autre fois à ta femme … Et je te ferai voir ce que sa fait de se faire battre sans raison valable.

L'homme n'osa même pas répondre au Chasseur, il ne fit que des mouvements très rapide de la tête en signe de soumission. Pour sa part, Amras se releva sous le regard des dizaines de personnes présente et s'approcha de la jeune femme marié à cette brute. Il lui remit quelques pièces d'or et lui chuchota quelque chose à l'oreille. Amras quitta ensuite l'espace de conflit et continua sa route. Lui qui c'était juré de ne pas trop se montrer aujourd'hui, il venait de faire tout le contraire.

La cohue recommença dès qu'elle eut le dos tourné, cette fois-ci elle entendit une femme hurler. Talhya tira sa monture derrière elle et courut vers la scène. Elle enjamba les obstacles et s'arrêta devant son mauvais présage. Son regard alla aux victimes puis à l'homme étrange. Vêtu d'une simple robe en cierge gris la femme faisait impression d'une simple paysanne, mais son éducation en était autrement, elle fit face à l'inconnu.

-Pardonnez-moi, Monsieur, mais j'aimerais savoir qu'est-ce qui se passe ici? Il semble que le malheur vous suit partout.

Même si l'homme était plus grand qu'elle, l'habitude de paraitre en public, cela ne la gêna pas pour autant. Elle avait un dague sur elle, mais ne comptait pas s'en servir, elle voulait simplement aider.

Elle lança un regard au couple derrière:

-Tout va bien?

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