Les Plaines du Ridge

Voyant que le combat, commençais a tourner au vinaigre, Nomar décida de s'en mêler. Il se fit un chemin vers Vanadessë, en propulsant deux guerriers vers l'arrière. Ceux-ci se ramassèrent par terre a manger la poussière. Nomar se mit dos a Vanadessë et dit:

-Ma chère, je veux bien que vous règlier vos conte. Mais toute fois, j'aimerais bien que vous restiez en vie.

Nomar qui voyait tous les gardes autours de lui, rajouta:

-Alors je vous donne le choix Dit-il avec un petit rire
Sois vous vous occuper de votre mari seul, et moi de toutes les soldats, ou bien on s'occupe de toutes les soldats a deux et après vous de vôtre mari. Quand dit-vous.

A se moment, Nomar leva Sismo et se prépara a se battre.

Nomar n'eut pas le temps de finir sa phrase que déjà la furie s'était élancé sur le roi massacrant tout les gardes qui se trouvaient sur son chemin.

-Fuyez encore, mon cher mari, bientôt même les murailles d'une grande cité ne pouront marrêter.

Ton mari, qui t'avais vu foncer dans sa direction, détalla comme une gazelle vers les murailles. Vous vous retrouvèrent donc tous les deux sur la muraille du Ridge. Les gardes étaient rester en bas, pour s'occuper de Nomar. Rendu en haut, ton mari de retourna, et sorti lui aussi son épée a deux mains et dit:

-Amondra, ne m'oblige pas a te faire du mal. Avec un semblant de peur.

On pouvais presque croire que l'homme devant toi avait peur.

Vanadessë ricanna.

-Ah non mon roi je ne veux pas votre mort, j'ai bien trop peur de votre armée. Où est-elle au juste? Ah oui, certainement morte en ce moment. Votre reigne cour à sa fin, avez vous trouvé vos succèdeurs? Ah non que suis-je bête, elles sont mortes! Je me suis entraîné pour que ce jour arrive enfin, le payement de tes erreures.

Elle avançait d'un pas autoritaire sans peur et sans pitier.

Les lames claquèrent, et tu réussi a lui ôter son arme, grâce a ton coup de pied au ventre. Vous vous retrouvèrent tous les deux au plancher. Mais tu pu remarquer asser rapidement, qu'il prit le dessus sur toi. Tu te retrouva dos au sol, et lui sur toi. Il dit en te soufflant au visage:

-Tu pensais vraiment me battre.

Elle abandonna sa main droite pour glisser sur sa cuisse.

-Sache que même si je meurs ici et maintenant, aucune autre femme ne voudra de toi. Je suis la seule qui ai pu te donner des enfants, qui t'ai aimé..

Elle tenait maintenant le manche de sa dague dans sa main droite.

-Je t'ai aimé même si pour toi je n'étais rien, rien qu'un objet qu'on pouvait malmener. Mais aujourd'hui je n'ai plus peur. N'as-tu aucune idée de se que j'ai dut endurer?

Elle se leva s'entend que la menace était tomber. Avec sa dague elle déchira les longue manche de sa tenue pour lui dévoiler ses cicatrices.

-Aucun homme ne m'aimera comme tu m'as aimé, as-tu dit? Tu as sans doute raison.

Les larmes coulaient de ses joues. Elle tenaient sa dague dans sa main, se demandant si elle devait en finir.

Ton mari, te voyant dans tous tes états décida de se lever et de reculer. Restant a porter, il dit:

-Je t'ai aimé Amondra, et tu a raison tu m'a fais fais des enfants.De plus, ce que je t'es fais subir n'est pas digne d'un mari convenable. Si tu s'avais quelques fois a quel point je regret de t'avoir fais subir cela… Mais dans ma jeunesse on ma toujours dit que les femmes n'étais rien d'autre que des objets, tu ma prouvé le contraire.

Il marcha vers les escaliers, et rajouta:

-Tous se que je veux c'est ton Bonheur. Alors va rejoindre l'homme avec qui tu est venu, je suis sur que ce colosse a bien plus a te donner que moi. Et si il est venu ici avec toi, c'est qu'il dois tenir a toi.

Puis il disparu en bas de l'escalier, en ne rajoutant plus un mots..

Vanadessë en resta abasourdie, elle se précipita vers l'escalier.

-Attends! Je t'en suplie, attends! cria-t-elle sur le bord de s'effondrer en larmes.

Ton mari, te garda dans ses bras un certains temps. Puis de sa main droite, il te leva la tête et dit:

-Part maintenant, et ne revien jamais. Les larmes au yeux

Il se défie de ton étreinte, et parti.

Elle attrapa son bras de sa main droite pour le retenir un peu.

-Je t'ai pardonné, dit-elle.

Puis elle remonta les marches et alla retrouver Nomar.

Vanadessë, retrouva Nomar assis sur un banc, avec un casque de soldat dans les mains. En arrivant tu pu remarquer, que plus personne n'étais sur la place publique. Tous les soldats qui étais la au début du combats, étais maintenant asser loin du lieu de la dispute. Quand Nomar te vu arriver, il lança le casque, et marcha a ta rencontre. Il s'arrêta a quelques pas et dit:

-Tous va bien ma chère, ne vous voyant pas arriver, j'ai craint le pire.

Nomar qui n'aimais pas se faire répondre d'un silence, plaça son bras devant Vanadessë et lui bloqua le chemin.

-Réponder moi je vous pris...je n'aime pas le silence..

Elle sursauta et poussa un petit cri.

-Ah Nomar je suis sincèrement désolé, j'étais préoccupé. Vous disiez?

Elle avait les joues encore humide.

-Je vous est demandé, si tout allais bien...

-Oui oui, tout va bien, nous avons règlé nos différents. Disons que maintenant je n'ai plus du tout le goût de rester ici.

Des larmes menaçaient de tomber.

-J'avais deux filles...

Nomar fut surpris de cette révélation. Elle avoir eu des enfants, c'est presque impossible se dit-il, a voir l'âge quelle a, elle a du les avoir très jeune.

Voyant les larmes de Vanadessë, Nomar la pris dans ses bras et dit:

-Venez, nous allons quitter ce village.

Elle s'arrêta et tomba à genoux en pleurant.

-Elles sont mortes...elles étaient encore bébé...elle sont mortes dans un incendie.