Les Plaines du Ridge

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Nomar et Vanadesse arrivèrent, finalement sur les plaines. Place ou régnais maintenant une odeur nauséabonde. Des restes de cadavres étaient encore sur le sol, et d’autre avait été dévoré par les charognards. Le sol étais devenu d,une couleur foncer du au sang qui avais couler et sécher. Montant sur une petite falaise vous pouviez maintenant voir la totalité du territoire.

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Vanadessë en eut un frisson qui lui parcourut l'échine. Elle regardait le paysage d'un regard grave. Elle prit le bras de Nomar et tira dessus.

-Venez, je me souviens où je me trouvait à mon réveille.

Elle l'entraînna vers la forêt.

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Nomar la suivi sans dire un mots.

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Nomar et Vanadesse arrivèrent, a l’entrer d,une clairière au milieu de la foret. Vanadesse reconnu la place ou elle c,étais réveiller, il y a quelques temps. La couleur du sol étais la même que sur les plaines, mais avec un peu moins de cadavres. En marchant un peu, Vanadesse reconnu le cadavres de l'une de ses amies.

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Elle regardait le sol, le cadavre, mais aucun sentiments étaient perseptible sur son visage.

-Elle est morte à mon côtée.

Elle eut une image: "Un endroit sombre."

Elle courrut en vitesse tassant les branches qui l'encombraient. La forêt laissa place à une pallissade.

-Le Ridge, lit-elle sur la palissade.

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Nomar suivi Vanadesse en courant. Arriver a c,est coter:

-Qui a-t-il ma chère

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Elle pointa la pallissade du doigt.

-C'est le village du Ridge, le mur me dit quelque chose.

"Une fillette traversa la mûraille escorté par des gardes, elle avait les joues baignées de larmes et tenait très fort dans ses bras un chaton qui miaulait. Tout les regards étaient rivés sur elle. Elle fit son entrée dans une grande chaumière."

-Je suis déjà venut ici étant fillette.

Elle entoura le bras droit de Nomar de ses bras.

-J'ai peur d'y entrer seule pour une deuxième fois.

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Nomar la pris dans ses bras, tout en regardant la palissade et dit:

-N'ayer crainte,Avec un sourire.,rien de ne peut vous arriver tant que je suis la.

Tous deux, avancèrent vers les palissade et entrèrent dans le village.

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Vous entrèrent dans ce qui restais d'un village que Vanadesse avait déjà vue. La plupart des maisons étaient détruire et le reste en piteuse état. En marchant au coter de Nomar, Vanadesse pu remarquer que plusieurs personnes les regardaient bizarrement. Marchant encore un peu, une femme vint se planter devant vous et dit:

-Est-ce bien toi??Demanda telle a Vanadesse

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Vanadessë regarda la femme, elle ne la connaissait pas.

-Peut-être me connaissez vous, mais moi je n'ai presqu'aucun souvenir de cette ville. Je n'étais pas très vieille quand je suis venu ici, début de la dizaine.

Elle espérait franchement que la dame éclaircit ce léger détail.

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La dame la regarda et dit:

-Tu es la femme, du nouveau chef...Il t'a cherché partout après les combats. Comme tu a changé. Mais je suis sur que te reconnaitra.

Au même moment, un homme parti en courant vers la maison qui était la plus luxueuse, et la seule qui étaient encore debout.

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Vanadessë se sentait étragement mal à l'aise, son visage pâlit. Elle se tourna vers Nomar, cherchant du soutient.

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Nomar, la pris dans ses bras pour la réconforter, et être près a toute éventualités

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Après quelques minutes, une troupe de cavalier arriva. En avant, un homme en armure, il mit pied a terre et dit:

-Te revoilà, Amondra. Je me suis tellement ennuyer de toi.

L'homme s'approcha de toi.

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Les images se fofilèrent dans sa tête:

Un couple devant l'hôtel. "Moi Amondra, j'accepte de prendre pour époux..." Un doux baisé et un visage rouge de haine.

Amondra était bel et bien son nom. La panique s'empara d'elle.

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Quand l'homme, vu que tu ne venais pas vers lui en t'appella, il se fâcha.

-Amonda vien ici.Comme si il appelait un chien

Il s'approcha d'un pas furieux

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La dame se figea mais avec quelque chose à l'intérieur d'elle la fit sursauter. Un sourire se dessina sur son visage.

-Aller viens vers moi pauvre fou, dit-elle d'un rire sadique.

Ses poings étaient serrés, sa machoir légèrement crispé, elle attendait qu'il se fache de plus belle.

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Voyant la colère de Vanadesse sortir d'elle, Nomar recula de quelques pas, et laissa Vanadesse régler ses contes par elle même. Mais il resta tout de même, près a intervenir.

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Voyant le roi dans tous c'est états, le peuple recula et fit un cercle autour de Nomar, Vanadesse et le roi. Les cavaliers qui avaient suivi le roi, descendirent de leur chevaux, mit la main sur la pogne de leurs épées, et commencèrent a faire le tour du cercle pour prendre Nomar de dos.

Le roi furieux, se lança sur Vanadesse et tenta de la frapper au visage d'un coup de poing.

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Nomar qui suivais attentivement le combat entre Vanadessë et son stupide mais légitime époux a se qu’on pouvait en déduire, vit les cavaliers mettrent pied a terre et commencer à faire le tour du cercle. Ne se sentant pas du tout menacé, celui-ci ne fit qu'apparaitre Sismo dans ses mains, et continua a regarder le combat.

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Vandessë avait un large sourire est attendit à la dernière seconde pour arrêter son poing en agripant sa main sur son poignet. Ensuite elle lui décrocha un uppercut sous le menton.

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Ton mari fut tellement surpris de ta réaction, qu'il se manga ton uppercut directement sous le menton. Reculant rapidement, il finit par tomber sur le cul. Se replaçant la mâchoire il dit:

-Sale garce, comment ose tu frapper le seul homme qui veulent encore de toi.

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Elle avançait d'un pas lourd vers lui toujours les poings serrés. Le sourire était encore très visible. Elle s'arrêta à sa hauteur.

-Tu n'aimes pas le changement, juste pour toi j'ai fais ça! Juste pour pouvoir écraser ta sale face de vermine! dit-elle en criant.

Vanadessë ne comprennait plus rien ce n'était pas elle qui parlait mais quelqu'un d'autre à l'intérieur d'elle.

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Voyant leur roi en mauvaise posture, tous les guerriers présent sortir leurs armes, et avancèrent vers Vanadessë. Le roi te regarda et dit:

-Et maintenant que vas-tu faire, je n'ai cas claqué des doigts et tu es morte.

Ton mari recula, se leva et rajouta:

-Alors maintenant a genoux et supplies moi, de te garder en vie.Tout en de pointant du doigt

Invité

Elle baissa la tête. Un rire sadique et hystérique s'éleva de la dame.

-Je n'ai pas tout fait ce chemin pour me mettre à genoux devant toi.

Elle leva sa tête et cria.

-Plutôt crever!

Elle avait sortit son épée et elle criait comme une ahurie.

Une petite flamme interne la dirigeait comme un patin, mais elle sentait toute la colère et la peur de la flamme et se laissa aller entièrement.

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