En attendant...la guerre!

Invité

Gaëlle laissa Shamio à l'entrée et entra dans sa "demeure potentielle". Les domestiques étaient heureuses de la revoir et elle eut droit à un interrogatoire. Elle répondit brièvement aux questions, voyant que leur maîtresse n'était pas disposé à atténuer leur curiosité, elles battirent en retraite.

-Si quelqu'un demande à me voir, je serai dans ma chambre.

Gaëlle monta ensuite à l'étage et referma la porte derrière elle. Enfin, elle était seule, seule pour repenser à tout les évènements. Elle se dirigea à sa fenêtre qui donnait accès à une jolie vue sur le jardin.

-Comment réagira le général lorsqu'il apprendra que je suis maintenant fiancé?

Il avait beau être devenut roi, elle le considèrait toujours comme un général.

-Il ne peut pas prendre un chemin autre que celui qui lui est tracé. Cela vaux mieux pour nous deux. Christophe, lui, laisserait tout pour moi, il n'a pas peut-être pas de projet de paix, mais il me restera toujours sincère. Il a beau le nier, il n'est pas totalement mauvais.

Elle se dégagea de la fenêtre pour se laisser tomber sur son lit.

-J'ai longtemps fait passer la vie des autres avant la mienne. Je lui ai certe déclaré ma flamme mais je ne me résoudrerai JAMAIS à occuper une place de simple maîtresse du "grand roi".

Maintenant tout était clair pour elle.

-Je mérite d'avoir quelqu'un qui prendra soin de moi et de mes enfants.

Cette pensée la fit raidir, jamais dans sa vie elle n'avait imaginé partager sa vie avec un homme, encore moins avec une ribanbelle d'enfants.

Elle sombra dans une vision de paix intérieur. Elle, une mère, regardant Christophe entrainer leurs enfants. Elle sourit en penssant que la clée du bonheur était de donner vie!

Invité

*Toc toc toc*, un homme cogna a la porte, ne voulant pas entrez pour ne pas la prendre au dépourvue Cédric s'annonca.

Gaelle c'est moi, puis-je entrer ?

Invité

Gaëlle bondit sur ses pieds, elle avait reconnut la voix de Cédric. Elle passa sa main dans ses cheveux pour y remettre de l'ordre, repira puis expira avant de lui répondre:

-Oui, oui, entrez!

Elle se tenait là, près du lit et de la fenêtre.

Invité

Bonjours Gaelle...ou colonel, je ne sais plus en j'en suis a vrai dire. j'ai beau me répetter les sage paroles de la nuit porte conseille, mais je ne puis m'enlever l'idée de vivre sans vous.

Cedric s'approcha doucement de la jeunne femme tout en parlant, pour une des rares fois il avait enlever son casque et la regarda dans les yeux.

Mon amour, dite moi, malgré mes paroles de bon roi, m'aimer vous toujours. Je crain de ne vous avoir trop décu. C'est pour cela que je remmet en question mon allgégeance envers cette autre promise pour me tourner vers vous.

Pour rajoutté de la sincérité dans ses paroles, il prit ses douce mains musclé de guerrière dans le creu des siennes, mais ce qu'il sentit était loin d'être ce qu'il avait espèrer. Il pencha les yeux pour confirmer ses craites.

Qu'est-ce que...qu'est-ce que signifie cette bague...?!

Invité

Gaëlle tressaillit lorsqu'il remarqua son alliance. Elle se renferma sur elle-même. Elle avait espéré lui annoncer autrement mais maintenant elle ne pouvait plus reculer.

-Colonel, dit-elle doucement.

Elle fit miroiter son alliance avant d'entammé:

-Écoutez, mon roi, j'y ai longuement réfléchit et je ne tiendrai jamais la place d'une simple maîtresse.

Elle plongea son regard dans le sien, aucune émotions n'étaient perceptibles. Mais elle aurait sûrement pleuré, jamais en publique.

-Son nom n'aura aucune importance pour vous, nous sommes déjà promis.

Invité

Cedric perdit toute confiance en lui, il garda la bouche grande ouverte comme un poisson affamé, sans pouvoir répondre.

Quoi...vous, vous êtes marié ?! Mais avec qui !?

Invité

Gaëlle sentit sa tête lui tourner mais ne laissa rien parraître, elle ne voulait pas tourner l'oeil devant son Général. Elle sentait son coeur sur le point de lâcher et porta sa main sur son front pour atténuer la douleur.

-Christophe D'Ébere, dit-elle froidement.

Ses genoux tremblaient mais elle réussit à rester maïtresse d'elle-même.

Invité

Christophe d'Ébere...ce nom ma semblez deja m'etre apparue en consultant ma généalogie, mais c'est l'arrière arrière grand-père de mon arrière grand père ! Comment est-il possible que tu te sois marié a un homme qui est mort depuis au moin 500 ans !
C'est incenssé...mais comment !

Plus aucune pitié ni compassion n'apparaissait dans c'est yeux, une rage mellé de frustration, renouvlé par une incompréhenssion total de la situation le submergeait, il voulait des réponses.

Invité

La tête lui tournait de plus en plus et un cri, dans sa tête, vint la déstabiliser, ce cri était celui qu'elle refoulait, son propre cri.

-2000 ans, fut tout ce qu'elle réussit à balbutiner.

Après quoi, elle s'étalla sur le sol, inconsciente.

Invité

Quoi m...

Le cervau encore alourdit du général neutralisa ses réflexes, et une seconde de trop Gaelle s'était deja écroullé.
Il s'agenouilla sur elle pour la relever et l'installer dans son lit. Il l'installa confortablement et s'assit sur une chaise a ses côtés, il réfléchissait, il avait d'autres question à poser, d'autres réponses qui devait éclairer le chemin sinueux de la vérité.
2000 ans...Cédric n'en revenait, non seulement que Sa bien aimé s'était donné a un autre homme, mais un membre de sa famille vieux de 2000ans !
Ses neuronnes continuèrent de tourner, en attendant le réveill de sa colonel,ami et amour.

Invité

Gaëlle entre ouvrit les yeuxet remarqua que son général était toujours là, à son chevet.

-Bonjour, dit-elle timidement.

Elle essaya de se tenir sur ses coudes mais se ravisa et se laissa glisser sur son lit.

Invité

Bonjour, alors sa va mieu, voulez-vous que je fasse monter de l'eau ? Nous pourrons mieu nous expliquer maintenant. J'étais peut-etre un peu trop agressif tout à l'heure. Maintenant prenez le soin de m'expliquer en détail la chose que vous portez avotre doigt.

Invité

Elle s'assit dans son lit fixant son anneau.

-Vous m'aviez laissé, le coeur brisé, seule dans la foêt. Je m'y suis alors endormis. En me réveillant j'ai rencontré deux hommes dont mon fiancé. Il nous a raconter notre première rencontre. Je lui ai demandé pourquoi et se qu'il attendait de moi. Il ma répondut qu'il était venu me chercher pour m'emporter avec lui.

Elle pleurait maintenant et criait sa douleur.

-Il a été sincère avec moi, je savais qui il était, il ne me cachait rien. Je ne tiendrai pas place de maïtresse, mais une plus digne pour moi, sa femme. Il a juré de me rendre heureuse, de m'aimer, de me protéger. Après tout se que j'ai fait pour les gens, j'ai bien le droit de songer à moi un peu.

Elle enfuit son visage dans ses mains pour pleurer. Elle était si vulnérable.

Elle devait être forte pour garder son statu. Avec lui, devant son général, elle était faible. Elle lui avait donné son coeur, mais elle n'y avait pas sa place.

Elle se leva et se dirigea vers la porte, elle voulait partir, elle n'en pouvait plus de pleuré, de se dégrader ainsi pour des hommes.

Invité

Cedric s'assit sur le lit à côté d'elle, comme pour prendre place a son chagrin. Il ne comprenait pas toutes ses motivations, mais au moins pouvais reconnaitre un momment de fablesse et en reconnue une part de sa faute.

Gaelle, je vous ai toujours aimé, surement pas comme vous l'aviez esperrer, mais je vous aimé d'un amour vrai, et un amour d'homme, de Roi. Pour moi j'en avait pas d'autre solution, jusqu'a ce qu'on m'avertisse la mort prématurer de ma fiancé par corespondance. Je reconnais que je n'ai pas été tout à fais sincère avec vous aussi, m'en pardonnerez vous? Dites moi aussi simplement que vous n'avez promis d'autre a un homme de plus de 2000 ans,et nous pourrons arranger tout ça.

Invité

Elle essuya ses larmes.

-Je n'ai qu'une parole, dit-elle simplement. Il est trop tard pour reculer.

Elle désirait simplement vivre sa vie, même en songeant à elle, elle trouvait le moyen de souffrir.

Invité

Bien...je ne puis vous forcer a m'aimer...je, je crois que vais vous laissez dans ce cas...Vous pouvez rester colonel si c'est une question qui vous inquiette, mais au moindre faux pas vous en coutera bien plus que votre poste ! Mais dite moi aussi...comment ce trouve-t-il que mon arrière grand père de 2000ans ici...?

Invité

Gaëlle ne comprennait tout simplement pas pourquoi elle devait payez de ses sentiments, peut-être tout cela ne lui était pas vraiment destiné après tout, seulement par la soif d'amour d'un homme puissant. Néanmoins, l'erreure lui était rendut impossible. Son père lui avait dit mainte fois " L'erreure est humaine mais le pardon, miraculeux." Elle pouvait le comprendre, elle lui avait brisé le coeur, il ne lui pardonnerait jamais. Il voulait la faire payer, mais d'une façon raisonnable, même si la vengeance ne l'était pas. " La vengeance n'assouvit pas l'âme, elle la détruit. Le pardon peut encore la sauver, toutefois, sincèrement." disait souvent son père.

Elle retrouva le fil de la conversation sans difficultés. Pourquoi son ancètre était-il ici? Elle se rapella leur conversation.

-L'immortalité est un don donné à ceux qui le mérite.

Invité

Ha oui ? sa me semble toute fois encore invressemblable ! J'aimerai bienq ue vous me le présientez. Je serai enchanté de rencontré mon ancétre!

Il eu un petit sourir sarcasique dans ses paroles, il ne la prenait pas pour une folle, me se dit surement sur el coup qu'elle était encore trop endormis pour savoir ce quel disait et ce contenta de sortir sans se retourné, sans bruit.

Invité

Gaëlle était toujours assise dans son lit, d'où elle le regardait partir. Il ne la croyait pas et elle pouvait en être sûre. Pouvait-elle lui reprocher de douter de sa santé mental? Elle se laissa retomber sur son lit.

Quelqu'un cogna encore à sa porte.

Découragé de ne pas pouvoir avoir la paix elle soupira.

-Oui?

Une tête blonde sortit de l'embrazure de la porte avec un plateau plein les mains.

-Vote r'pas m'dame, dit-elle timidement.

Gaëlle fit mine de ne pas remarquer son malaise, elle prit le plateau d'un large sourire sincère. regrettant par la suite ce geste.

La domestique prit ce sourire comme une invitation à partager son repas. Elle prit place près d'elle et entemma la conversation.

-J'ai entendu vote conversation m'dame ak le gentlemen, vous lui avez pas mal brassé ça! J'vous appuis!

Gaëlle en était abasourdit, comment une femme pouvait-elle être aussi mal élevé? Elle avait la bouche grande ouverte et ne disait rien.

La femme, elle, prit une grande bouché dans la miche de pain et une généreuse portion de ragout. Elle poursuivit tout en mâchant la nourriture.

-Mon homme tait pareil, un vrai chien en rut! T'jours après m'battre pour voir l'respect! J'vous jure j'l'ai pas épargné, dit-elle en replongeant son morceau de pain dans le ragout. Pfff, yo j'mais touché aux gos, yo asseillé yienk une fois, j'ai pris l'tisonier pis dret sul bras! L'truc c'est d'pas leur montrer qu'on a peur d'eux. Ben faite pour lui, même l'roi st'un maudit batard, une femme comme vous m'dame mérite pas ses types là! Au d'but j'croyais qu'vous étiez comme les autres, toutes des sales garces de nones soumises!

Gaëlle éclatta de rire. Elle était certe TRÈS grossière, mais elle aimait sa franchise. Elle devait être très insouciente, car seul ses paroles auraient suffit à la pendaison publique. Ses paroles étaient toutefois très remontante pour le moral.

-Je vous remerci mademoiselle pour ce repas et les conseils, j'en prend note.

La domestique lui fit un sourire, étonnement blanc.

-J'vous laisse m'dame, j'dois r'tourner au cuisine.

Puis, elle ferma la porte.

Gaëlle resta dans la chambre, toujours en attendant...la guerre.

Invité

Dès que la servante eu refermé la porte elle échapa un petit cris et une discution enflamé commenca;

-Mais qu'est-ce vous faite ici bon Dieu ! S'exclame la bonne dame.
-Je dois absolument voire la Colonel Gaelle de Syrinx ! Répliqua un homme dont la voix était grave et soutenue.
-Vous pouvez pas! Elle s'repose! s'en est asser pour j'ourd'ui !
-Pousser vous!

Des bruits de bousculades ce firent entendre et une étrange tension monta dans l'air. La dame ce mit a crier à l'intru et toutes sortes de nom des plus péjoratif, mais en quelque seconde l'homme venait d'ouvrir la porte sans avoir cogné.
Un homme en uniforme militaire s'avance, fit une réverrance et pris la parole, il semblait pressé et exténuer.

Colonel, pardonnez moi, mais c'est le Major Rodrigue qui m'envoie, je suis moi-même de sa garnison qui était au boisée de Lilthy. Des hommes annimaux nous on attaqué, nous étions une centaines de cavalier armée, et quand je suis aprtie pour venir vous avertir il n'en restait tout au plus 50. Le Roi est introuvable, j'ai jugé bon de venir ici alors...

Il s'éfondra sur le sol, une pronde blessure dissulé sur sa cape l'avait achevée, au moins sa tahce était acomplite.

Ho m'Dieu ! un cadavre plein de sang ! sa va tacher le parquet!
S'exclama la dame qui venait d'arriver après s'être fait bousculer.

Invité

Gaëlle se leva du lit et alla chercher son armement.

-Mademoiselle, ramasser le cadavre et faite lui une sépulture digne d'un militaire. Avec l'aide de notre père bien sûre. Je vais m'abscenter, aurevoir!

Elle claqua la porte, dévalla les escaliers, enfourcha sa monture et fila vers le boisé.

Invité

Gaëlle était de retour, elle laissa Shamio paître plus loin et entra dans la guilde. Elle se laissa choir sur une chaise à l'entrée. Les domestiques se hâtèrent à lui monter de l'eau chaude dans ses quartiers. Gaëlle reprenait ses esprits, après cette chevauché, elle en avait grandement besoin. Elle monta à la suite des femmes qui faisaient de leur mieux pour l'ignorer comme leur maîtresse leur avait fait savoir.

Elle se rappela que la dague était encore plantée dans son épaule, elle l'extirpa ce qui lui arracha un cri de douleur. Elle pansa la plaie fermement pour arrêter l'hémorragie. Elle se dévêtit et entra dans la baignoire où elle resta une bonne heure engourdit par la douleur. Deux hommes étaient morts dans ses bras...

Un chant d'oiseau la sorti de sa torpeur. Elle sortit tranquillement de la baignoire et vint s'asseoir sur son lit. Les domestiques lui avaient monté des bandages, de l'alcool fort, une languette de cuir et des herbes pour se faire un cataplasme. Elle mordit dans la languette de cuir et versa l'alcool sur ses plaies. Sa mâchoire se referma sur le cuir et elle laissa échapper des gémissements de douleur, une douleur à vous rendre inconscient. Par la suite, elle prépara le cataplasme.

Quelqu'un cogna à la porte.

-Avez-vous besoin de quelque chose, madame?

Gaëlle avait la tête qui tournait par les vapeurs de l'alcool.

-Oui j'ai une plaie sur l'épaule à recoudre.

La domestique entra avec son nécessaire à couture.

-J'ai vu tout de suite qu'il vous faudra la recoudre.

Elle se plaça dans son dos et enfila le fil dans l'aiguille. Gaëlle replaça le cuir entre ses dents et serra des poings. La femme commença sa couture sous les gémissements de Gaëlle. Elle prit le cataplasme, en déposa sur la plaie cousue et la pansa. Elle fit de même pour toutes les autres plaies de Gaëlle qui étaient plus bénignes. Après quoi, elle laissa la paladine, à demi-consciente, se reposer.

Les domestiques furent alertées par des lamentations et elles montèrent la voir. La fièvre s'était emparée d'elle, pendant la nuit. Un linge humide de vinaigre était sur son front et se promenait dans son coup et derrière sa nuque.

-Passera-t-elle la nuit? S’inquiéta une des domestiques.

-Espérons le...une note de tristesse enroua sa voix.

Une domestique plaça une croix son oreiller.

-Son sort est entre vos mains, mon Dieu, puisse cette prière être entendue...

Un recueil de prière illumina cette sombre nuit. Un peu avant l'aube Gaëlle arrêta de délirer et semblait confronter la fièvre. Elle dormit le reste de la journée et la nuit après.

Gaëlle se réveilla un peu étourdie, elle avait rêvé de Christophe et de Cédric.

"J'étais avec Christophe dans le château de Sarnath, tout était beau, le soleil éclairait son visage si mystérieux. Il m'a prit dans ses bras forts et nous nous dirigeâmes vers les jardins. Il m'a cueillit une fleur puis il me l'inséra dans les cheveux. Du coup, Cédric arriva m’attrapa par le bras en me secouant comme un prunier : «Tu m’appartiens! » Christophe lui asséna un coup de poing dans les côtes et Cédric lâcha son emprise. Je n’y pouvais plus rien, les deux hommes puissants s’entre tuaient. J’avais beau crier, ils ne m’entendaient pas. Une large vitrine nous séparait, je la martelais de coup de poing mais cela n’y changea rien. À ce moment-là, il disparurent dans un halo de lumière, il m’était maintenant impossible de connaître la fin… "

Elle se leva sur ses coudes et fit tomber le linge humide de vinaigre sur sa poitrine. L’odeur du vinaigre lui rappela la maladie qui l’avait presque achevé. Elle fit une brève prière à son Dieu protecteur puis se leva sans trop de mal. Elle se vêtit d’une robe en cierge gris, plus confortable, vu les circonstances, qu’une robe de noblesse. Elle prépara un sac de voyage, en n'oubliant pas de prendre son armure et ses armes. Elle se dirigea en titubant, ignorant les reproches des domestiques paniquées, vers le jardin où était couché Shamio. Elle entoura l’encolure de la jument de ses bras. Ses cheveux soulevés par le vent d’une douce matinée. Sa peau était encore chaude et fiévreuse par l’effort.

-Christophe portez moi jusque dans vos bras, j’ai besoin de vous. Rien ici n’est pour moi, il n’y a qu’injustice et violence, personne n’écoute la voix de la raison, dit d’elle en pleurant les yeux fermés.

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