Les ruelles

Les deux hommes marchèrent d'un pas rapide dans les sombre rue...Nargorath et son fugitif.

Soudainement, Nargorath s'arrêta et dit au fugitif : -Nous sommes suivis, faîtes attention et faîtes le moins de bruit possible !
On va être obligé de sortir de la ville .
Prenons la porte ouest, c'est la porte la moins surveillé.
Allons-y !!

Le fugitif peu conscient de qui il suivait, ce contenta de suivre, vu qu'il n'en avait pas vraiment le choix.
Puis demanda : Ou allons nous maintenant ?

Après être sorti de la ville, Nargorath décida de partir le plus loin possible de cette ville avec son "complice" pour être le plus loin de la garde royale car désormais, il était sans doute lui aussi considéré comme un fugitif.
Ensuite ils réfléchiraient de leur prochaine déstination.

Soudain les branches environnantes ce mirent a bouger, et une flèches venue de nul part vins transpercer le coeur de ton compagnons. Une vois sortit de nul part rompa le silence.

La prochaine fois occupe toi de tes affaires, sinons tu finiras comme lui.

Ton protèger était maintenant mort sur le sol...

Soudain un homme a l'allure svelte et solide s'approcha de toi..il n,avait pas réellement un air nette ..plutot une allure de vipère presque, mais il restait qu'il avait une fière allure combattante.
-Moi, je suis ici seulement pour vous aidez, jeune homme. Je n'ai aucune idée, de ce qui lui est arrivé, et de qui est derrière cela...mais tout ce que je sais c'est qu'on m'envoit vous aidez... alors acceptez vous cette aide dès maintenant?

Sans même hésiter je répondis :
Je l'accepte grandement, car désormais je ne sais que faire.
Que faisons nous alors ?

Sur l'homme mort sur le sol, un objet ce mit brillé étrangement...ce qui ressemblait a un sablier s'illuminait de mille feu.

Etant curieux, j'avanca, certes mais prudemment .
Je découvris un sablier avec du sable s'écoulant gracieusement, mais c'était du sable noir.
Je me retourna pour regarder le tueur du fugitif :
- Mais qu'est-ce que cela ?

L'homme figea son regard sur l'objet et le scrupta de ses yeux verts émeraudes. Il affiacha un regard interrogateur, et tout en parlant il s'empara du sablier.
-Il me semble bien que se soit un sablié petit homme..a qui il apartenait je ne sais pas...pourquoi cet homme le portait sur lui est aussi en dehors de mes connaissances...ainsi que la plupart des question que vous voudriez me posez.. mais je vais vous en donnez une par moi même.. Ce n,est pas moi qui ait tué cet humain...si cela aurait été fait par moi..et bien, le guerrier afficha un sourire cruel et des plus convaincant. et bien...Il Serait En Cendres HA!HA!HA!...ten qu'a vous vous êtes toujours vivant

Le sablier continuait de briller, on ne sait pourquoi ni comment. Mais soudain il ce mit a brillé tellement fort qu'un lumière sur-naturel vous envahit et lorsque vos yeux ce réabituère au tempèrament normal, vous n'étiez plus dans les sombres ruelles, mais dans un somptueux pallait.

Morbak, sous forme humaine et totalement inreconnaissable, afficha un visage surpris mais tout au plus agréablement surpris! Ce pallais était majestueux et il n'en revenait pas que se sablier les ait amener ici. Mais par pur orgeuil dracoide il dit
- Ce n'est pas si mal comme palais mais je préfère quand même mon chateau personnel, dit il d'un ton un peu dénigrant.

La palais était bati d'un mabre somptueux avec de grande torce au mur. Vous étiez encore sous le chox lorsque deux hommes en large armure portant de drole d'arme en bois vinrent vous interrogé:

Que faites-vous ici ? Vous êtes dans le palais des Éberes, faite voir vos autorisations.

Nos...nos autorisations ?
Bien sûr, c'est mon ami,ici même qui les as ?
Nest-ce pas ?

Le guerrier très surpris lui même de devoirm suposément posséder les suposer autorisation ne trouva qu'un seul truc a dire face aux gardes
- Heee... les autorisations...mais bien sur suis je bête! Il afficha un sourire stupide et tendit son bras relevant sa manche. On pouvait y lire un message d'autorisation écris a l,encre permanente chinoise, avec une très belle signature remarquable digne d'un roi avec le nom Cédric d'Ébère(transformation une fois par jour). Est ce correct messieurs les gardes?

Ha ! vous voulez rire de moi, Cedric d'Ébere est mort il y a plus de deux cent ans ! C'est Toram d'Ébere qui est sur le trone. Je crois que vous aller devoir me suivre pour un petite vérification...

Les deux hommes pointèrent deux étranges batons plaqué de métal qui ressemblait a se que vous ne connaissiez pas encore; des mousquets

Morbak, qui fesait face a quelque chose d'assez disons.... surnaturel ne comprenait pas vraiment les choses qui se déroulaient présentement. Il a été envoyez ici pour s'occuper de nargorath pour retrouver une partie de sa puissance...il tombe sur celui ci et un sablier magique qui le transporte dans le temps et il fait face a deux garde qui possèdent une arme totalement inconnu a ses yeux. Morbak était réellement exciter. Rare était les situation ou il pouvait Peut-être être pris au dépourvus...alors aussi bien laisser la situation aller.
- Voyons Jeune homme...nous n'allons pas entraver le travail de ses chers messieux. Nous vous suivons de bonne graces, répondit Morbak d'un ton respectueux et plein d'entrain. et il se retourna et fit comprendre d'un regard sévère a nargorath qu'il était des plus sérieux lorsqu'il était de suivre les deux hommes.

Quelques minutes plus tard votre éscorte vous emmena dans une petite pièce illiminer de plusieurs bougies.

Si vous avez des armes veuillez les laissez ici, nous vous emmenons voir le gouverneur, il jugeras si vous pouvez rester ici. Ensuite suivez moi dans l'autre salle.

Et vous aussi monsieurs. (en s'adressant a Nargorath)

Bien sûr, balbutia Nargorath

Il déposa alors une épée courte qui pendait sur son flanc mais surtout il enleva une grande épée à deux mains qui se trouvait dans son dos elle était ornée d'un héron, signe d'adresse exceptionnelle

Il garda néanmoins sur lui son arme secrete ...

Bien...maintenant veuillez me suivre.

Les gardes vous apportèrent dans une grande salle, ou tout au fond ce trouvait un grand homme a la barbe brune. Bonjour mesieurs, il me semble que vous soyer perdu, et a voir votre accoutrement vous ne venez pas d'ici! Mait dite moi avant comment avez vous dont fait pour entrer ici !

Bien sûr !!! mon seigneur
Par la porte, pardi !

Ha ! j'aime bien les bonnes blagues, mais pas venant d'un petit insolent. C'EST IMPOSIBLE que vous soyer rentrer par la porte ! un de mes 38 garde vous aurais suement appercu, sinon c'ets vous êtres un espion. Et si c'est le cas, vous mériter la peine de mort...