Entrée en scène

William, Moïra et Laïla avançaient serein dans la forêt. Puis William s'arrêta. La forêt chantait doucement pour qui savait écouter. Il ferma les yeux sourir aux lèvres, ils étaient arrivés dans une jolie petite clairière ou le soleil pouvait enfin atteindre le gazon d'un vert émeraude, c'était surtout des chênes qui traçait le contour de cet endroit, on pouvait entendre quelques oiseaux piailler par-ci par-là et toute la forêt respirait la sagesse et le bonheur.

- Je me demande combien d'années à cette forêt...

Ce retournant vers ses soeurs, un immense sourire éluminait sont visage.

-J'approuve, mais je suis exténuée par se long voyage... c'est bien plus compliquer marcher quand qu'il y a Moïra à côté de soit. Comparé à toi, monsieur William, qui prétendais ne pas prendre en charge la petite à cause des vilans dans la forêt... Et combien on en a vu? Aucun...

Elle émit un long soupire...

Tout en pronnoncant c'est mot, Laïla tapota la tête de sa petite soeur et rendit son sourrire à son grand frère. Ensuite, elle se pencha pour y prendre un tas de terre au sol.

- Un sol plutôt riche à comparer de notre maison familliale, l'air y est frais. J'aime bien cet endroit moi..

Laïla commença donc à fredonner une chanson transmise de génération en génération dans leur famille.

-Ah non tu ne vas pas te mettre à chanter en plus !

Dit-il, ricanant. Il s'avança vers Moïra, il l'a prit dans ses bras et la fit tournoyer dans les airs. Les arbres devinrent flou tout autour le temps d'un instant et un sourire encore plus grand que celui d'un instant vint se placer dans son visage.

-Et toi Moïra, tu l'aimes cette forêt ? On pourrait peut-être y emménager provisoirement, qu'en dis-tu ?

Et il se mit lui même à murmurer les paroles de la chanson.

La clairière avait vraiment un aspect magique et remplis de secret qu'apportent les vieilles places.

Très étourdi, Moïra regarda sont frère avec un aire de reproche...Elle a le cœur au bord des lèvres et n'est absolument pas capable de penser tellement elle est étourdie. Elle est quand même très heureuse d'être ici avec son frère et sa sœur

- Pourquoi pas ! Mais seulement provisoirement... Je veux tout voir, pas seulement la forêt ! De plus je crois que le forêt aimerait que l'on reste.

Voyant l'incompréhension sur le visage de sont frère et de sa sœur sur ce qu'elle venait d'avancer elle aoutat :

Vous n'entendez rien ? La forêt chante !

Sur ces mots elle regarda son frère et sa sœur avec un regard interrogateur...Elle savait que William et Laïla n'avait pas cette capacité a ressentir les chose. Cette petite différence entre elle , sont frère et sa sœur lui semblais tellement grande parfois...

William regarda sa soeur avec un point d'interrogation sur son visage. Cela devenait de plus en plus fréquent que Moïra parlait ainsi. Comme si tout se qui était vivant lui parlait aussi clairement qu'avec des mots. Il se reprit vite et lui sourit.

-Évidement que l'on va tout voir ! Ce n'est pas parce que nous sommes rester presque toute notre vie dans notre ville natale que l'on doit rester enfermer dans cette forêt si l'on décide de s'y établir. Je me demande si il y a encore beaucoup d'elfes dans le coin. Je sais bien que nos ancêtres vivaient ici, mais même moi je ne connais pas la raison de leur départ...

Il souriait toujours et son inquiétude ne transperçait pas son masque de joie. Il se tourna vers la direction opposé de leur arrivé et dit à leur soeur sur un ton des plus joyeux :

-Et si on avançait un peu plus pour voir se que nous réserve cette forêt ?

Laïla, quoi que fatigué de se voyage n'est pas contre le fait d'aller visité la forêt. Seulement en la regardant, elle sait qu'il se cache pleins de mystere. Elle vola sa petite soeur des bras de son frère et en profita pour lui donner une grosse caresse à cette derniere.

-Tu sais que je t'aime toi !

La remettant au sol, Elle prit la petite main douce et soyeuse de Moïra et prit de l'avant.

- Tu sais William, je sais que c'est cruelle de t'enlever la petite de tes bras, mais ce n'est pas en retant planqué là que tu réussiras à voir quelque chose de beau.

Sur ce elle se retourna vers sa petite soeur.

-On y va?

Il lui fit un grand signe du bras pour l'inviter à passer devant et alors qu'elle se retournait il fit une grimace dans son dos. Ce n'était pas comme si il voulait garder Moïra pour lui tout seul, mais elle avait tellement de difficulté avec son équilibre que parfois il préférerait toujours l'avoir sur lui. En plus elle était légère comme une plume.. La forêt semblait leur souhaiter la bienvenue et alors que les oiseaux continuaient a chanter il aurait jurer reconnaître la mélodie que sa soeur et lui venait de chanter. Les feuilles recommençaient tranquillement à redonner à la lumière du soleil une lueur verte. C'était une magnifique journée.

Il se surprit à penser à ses parents :
Que faisaient-ils ? Pensaient-ils aussi à eux ? Continuaient-ils à cueillir les champignons maintenant qu'il n'était plus là pour les manger en entier ?

- Je ne dirais pas non à une bonne soupe aux oignons et aux champignons !

La phrase était sortie toute seule. C'était plus une réflexion à lui même qu'autres choses mais il se demandait quand même comment ses soeurs allaient réagir.

Moïra regarda sont frere avec tendresse. Elle s'avait que même si c'est lui qui avait tenue a partir de la maison familliale il s'ennuyait deja... Elle aussi d'ailleur. Elle s'ennuyait deja de sa mère et de sont père. Elle avait sacrifié sa vie de jeune elfe pour suivre sont frere et sa soeur dans se monde si grand. elle ce sentis si seul tout a coup.

Le gargouillement de sont ventre la remis a lorde d'un seul coup. Avec toute cette ajitation ils avaient completement oublié de manger ! Elle effaca toute penssé negative de sa tête, apres tout elle était avec les deux seul être a qui elle tenait vraiment !

-Tu a mangé de la soupe au champignon et au oignons toute ta vie et tu veux encore en manger ?

Elle fit un petit sourir malicieux a sont frère et partie a courrir pour lui sauter dans les bras

-Ah bien y pensser , j'ai une faim de loup ! Mais ou allons nous trouver tout les ingrédients ... On ne connait même pas cette forêt !

Laïla regarda sa soeur avec un aire interrogateur.

*Mais Moïra, pourquoi cette question ? Pour toi, la forêt est déjà bien connue a tes yeux* Pensa-t-elle.

Mais sachant que sa petite soeur mourrait de faim, les réponses à ses question dure attendre. En aucun cas Laïla voudrait que sa soeur meurt de faim.

-Moïra lâche dont ton frère et allons cueillir quelque chose qui irait bien sous notre dent.

Elle fit simplement un sourrir et partie définitivement à la découverte de cette forêt.

Alors que Laïla partait vers la forêt William adressa un sourir coquin à sa soeur avant de la re-déposer au sol, bien délicatement. Même si il aurait bien manger une soupe l'idée de rencontrer d'autres personnes était beaucoup plus alléchante, par conséquent, William ne voulait pas trop s'attarder dans cette forêt, bien qu'elle soit magnifique. Il regarda tout autour de lui et se retournant vers Moïra dit:

-Moïra, crois-tu savoir ou nous pourrions trouver des baies a grignoter avant de continuer ? Il n'est tout de même pas l'heure du déjeuner !

Son sourire était toujours là et son ton, toujours heureux. William savait que si il y avait quelque chose à manger à proximité, Moïra le saurait. Ou du moins il ESPÉRAIT qu'elle le saurait. Ils étaient déjà sortit de la clairière et même si le soleil n'étendait pas directement ses rayons sur leur tête, la forêt restait lumineuse et acceuillante. Est-ce qu'ils découvriraient un jour pourquoi leurs parents avaient quittés cette contré ?...

Rien ne trahissait ses questions et son regard était toujours tourné vers Moïra attendant une réponse.

Un jeu elfe qui passait par là ne savait pas qu'il trouverait sur son chemain trois de ces semblables. Longtemps apres son départ qu'il avait vu un autre de sa race. Il s'aventura tranquillement vers eux, les bras croisé dans ses manches. Avant d'arriver face à ces trois personnages. iI décida d'enlever le capuchon de sa tunique, qui cachais son visage et ses oreils, par respect à ceux qui interlocuterait.

Bonjours à vous mesdames et monsieur. Je me présente, Kalhem, druide d'un peuple loin d'içi. Je viens rendre visite a l'arbre de vie pour aprendre de lui.

Mais comment puis-je vous appellez?

Le jeune elfe les regarda avec un petit sourir courtois, en attendant leur réponce. Il s'arrèta à environs 6 mètres d'eux.

Par réflexe de protection plus que par véritable nécessité, William se plaça de façons à pouvoir bloquer n'importe quel regard trop important sur ses soeurs. L'inconnu semblait parfaitement à l'aise et il ( William ) ne voyait aucune arme à porter de mains. Ses parents lui en voudrait à mort si jamais une de ses deux soeurs devait être attaquer durant leur voyage.

-Bonjour Kalhem, je me nomme William et voici mes deux soeurs Leïla et Moïra. Nous sommes aussi nouveaux sur ses terres.

Il indiqua Leïla qui était un peu plus loin et la petite Moïra juste derrière elle. Son sourire était des plus chaleureux. L'inconnu lui plaisait, il semblait gentil, de plus c'était un elfe, ce qui le mettait directement en confiance.

- L'arbre de vie vous avez dit ?

-...

- Jamais entendu parler !

Il afficha une moue dubitative et son regard était amusé... Qu'est-ce que se druide avait à leur apprendre sur l'ancienne terre de leur parents ?

Kalhem en voyant son geste de protection montra les deux mains dans les aire pour leur montré qu’il n’avait pas d’arme. Puis il s’approcha lentement pour être bien sur que son geste n’est pas mal reçue de ces interlocuteurs.

Je suis enchanter.

Puis fit un sourire courtois.

Dans mon royaume natale, nous avons quelque légende, peut-être qu’elles sont vrai, peut-être que non. Qui le saurait a part cet arbre que j’ai t’en entendu parler.

Puis il regarda au tour, cherchant un endroit ou il pourrait reposer ses jambes, du long voyage qu’il avait parcouru et en même temps continuer de parler avec ces jeunes gens.

Laïla n'avait pas entendu Kalhem arrivé vu la distance qui les séparraient. Par contre, elle se redit compte que ses deux compagnons de vie ne la suivait pas, frustré elle se retourna. Lorsqu'elle vue le jeune étranger, elle en fut surprise. Elle s'avança vers la petite troupe pour leur rejoindre compagnie. Laïla rejoin son frère et lui donna un petit coup d'épaule.

-C'est qui lui , un nouveau?

Laïla lui adressa un sourire acceuillant, démontrant le plaisir de connaître de nouvelles personnes de sa race. Elle se retourna vers sa soeur et alla la rejoindre pour lui caresser les cheveux.

En cherchant tout au tour de lui il fini par trouver quatre belle buches qui leur permettrais de s'assoir un peux. Par la suite il se retourna vers ses nouveaux amis et remarqua le petit sourire de la jeune demoiselle. Il lui répondit avec un doux penchement de tête pour ne pas froisser personne.

Nous pourrions s’assoir là-bas, nous s’y serions bien plus confortable pour discuter un peux. Si vous le voulez bien.

Il pointa 4 belle grosse buche a peux près en cercle. Un de celle-ci étais un peux plus en retrais, les autres étais bien proche. Il était assez facile à prévoir ou la jeune famille décidera de s'assoir donc le jeune druide s’élança vers la souche qui était plus éloigné.

-J'accepte avec joie cette offre, ce geste fera changement de ceux qu'on a fait depuis des semaines.

Sur ce, elle partie, amenant Moïra avec elle, s'assoire sur la bûche qui était au millieu des trois qui étaient les plus proche. Elle prennait la peine de toujours être au côté d'elle, sachant que cette derniere est gêner au près des nouvelles connaissances

Tout le monde bien installé, Laïla prit parole en premier.

-Alors, qu'est-ce qui t'amene ici?

(il ne faut pas oublier que Laïla n'a pas entendu la conversation d'il y a un moment)

William prit un peu plus de temps à s'asseoir, il était irriter de l'attitude de sa soeur. À croire qu'elle ne savait pas l'effet qu'elle avait sur les garçons...il devrait encore lui faire un exposer la dessus ! Ciel ! Il déposa son arc et son épée au sol juste à coter de son siège. Les bûches était confortable, le nouveau venue aimable, mais son estomac toujours vide...

-Laïla, voici Kalhem. Maintenant que tout le monde connaît le nom de tout le monde, on peut parler ! Se qui l'amène ici, je crois, c'est un certain arbre de vie. N'est-ce pas Kalhem ?

William parlait de façons détacher et gardait toujours un petit sourire joueur. Ils s'étaient installer dans un espace qui ressemblait franchement à une genre de pièce familial. À condition bien sur qu'ils aient été dans une maison. Après avoir rapidement détailler l'entourage, il s'attarda sur le visage de Kalhem.

Kalhem voyant que ces nouveau compagnons étaient bien installer, il décida de sortir quelque provision de son sac a dos. Il en sorti un gros pain, des fruits de toute sorte, il en avait assez pour rassasier tout le monde. En les sortants, il les déposa au centre, entre eux.

Si vous avez faim, vous pouvez vous servir. J’en n’ai suffisamment pour nous quatre.

Kalhem les regardais tous avec un sourire agréable et il laissait paraitre son grand cœur aux autres de sa race. Vous pouvez voir dans ses yeux, si vous vous y attardez, qu’il ne serait pas capable de faire de mal a quiconque, sauf en cas d’urgence.

Donc, comme je disais a William ma venu ici est pour voir l’arbre de vie et d’en apprendre sur lui et surtout de lui. Car certaine légende de ma contré pense que cet arbre serait une créature céleste. Qu’il y aurait un jour un druide qui aurait la chance de continuer son étude avec ce grand t’esprit de la forêt. On dit aussi que cette personne aurait des marques de naissance pour le reconnaitre et bizarrement j’ai les mêmes tatouages que les légendes parlent. Donc voila pourquoi je suis destiné à me rendre à cet esprit.

Il baissa la tête et regarda son bras où se formais l’une de ses multiples tache de naissance. Les autres étant cachés par sa tunique.

A la vue de l'étranger l'attitude de Moîra avait complètement changé. Ses oreilles c'était rabaissé vers le bas et ses grand yeux bleu c'était assombrie. Elle ne percevais aucune intention hostile de la part de cette étranger qui disais s'appeler Kalhem mais elle était tout de même méfiante. Elle ce demandais pourquoi d'ailleur, il leurs avait donner a manger et ne semblais porter aucune arme.

- Je prendrais bien un morceau de pain ...Je meurt de faim !

[i]Elle lui rendis un petit sourire timide tout en évitant de le regarder dans les yeux. Elle se souvint alors qu'elle avait lu quelque chose au sujet d'un druide avec de drôle de taches de naissance... Par contre elle ne ce souvenait pas ou elle l'avait lue. En fais elle n'avait pas vraiment porté attention a cette lecture, elle le regrettait un peu maintenant...[i]

William prit un morceau de pain lui aussi. L'ambiance était relaxante et mise à part Moïra qui ne semblait pas totallement à l'aise ( comme chaque fois qu'il y avait quelqu'un d'autre que la famille ). Ils mangèrent en silence un instant avant de reprendre leur discution.

- Mais, pourquoi vous a-t-on envoyer seul ?

La phrase était sortie d'elle-même, presque au même instant qu'il l'avait penser. Après tout, à moins que son petit comité de druide est très bien connu la région, il n'aurait surement pas envoyer un druide, le plus prometteur selon les faits présenter, seul pour faire une mission de haute importance.

kalhem avait l’aire a l’aise de se faire poser des question, il mangea sa pomme en écoutant William et Moira. Puis après le résonnement de William, kalhem décida de lui répondre.

Mon chère nous ne sommes pas beaucoup dans notre contré et chacun de nous a un but précis dans l’équilibre. Chaque druide a son grain de selle a mettre dans la nature pour l’aider a prospéré. Si nous étions partie en grand nombre, cet équilibre aurait chaviré. Certainement d’autre de ma contré vont venir me rejoindre, mais pour l’instant nous n’étions pas sur si cette légende étais vrai, donc on ne pouvait pas ainsi tout bousculer pour moi.

Alors vous comprenez pourquoi je suis parti seul? Mais bien sur que s’y j’aurais insisté on m’aurait envoyé du renfort pour m’escorté, mais je ne voyais pas le besoin. Surtout que je n’ai pas emprunté les routes et son rare les bêtes qui s’en prend au druide.

J’espère qu’un jour, si je dois rester ici quelqu’un de ma contré viendra me tenir compagnie. Sinon je risque de trouvez sa long ici, loin de ma famille et ami.

Kalhem se mit à regarder le sol, il avait un regard vide. Vous pouvez voir que s’éloigner ainsi de tous ceux qu’il connaissait, lui avait placé un grand vide. Puis quelque seconde plus tard, il reprit sa bonne humeur.

Allons, nous avons suffisamment parlé de moi. D’où venez vous et que venez vous faire par ici? Si se n’est pas trop personnelle.

Il ne voulait pour rien au monde les froissée, mais il désirait mieux connaitre les premières personnes qui avait rencontré dans cette contrée.

William n'avait rien manquer des émotions de Kalhem et il les comprenaient. Plus au moins, lui avait ses deux soeurs, Kalhem n'avait personne. Il avait terminer de manger, regarda autour de lui pour vérifier que tout le monde semblait assez reposer et dit :

-Notre histoire n'a rien d'aussi noble que la tienne et ça nous ferait plaisir, à moi et mes soeurs de te la raconter, mais nous pouvons marcher en même temps, je suis bien heureux que tu es croiser notre chemin, c'est deux-là commençait à me taper sur les nerfs !

Un clin d'oeil en direction du druide pour lui faire comprendre qu'il plaisantait et William avait déjà remis son sac sur ses épaules, avec son arc et ses flèches ainsi que son épée dans son fourreau. Un grand sourire attendait la réponse de ses trois compagnons

kalhem avait vue son petie clin d'oeil et à son tour afficha un sourir. Il commença à ranger ses affaires, puis se leva.

bien je vais vous laisser en famille, moi j'ai encore du chemain a faire et si je veux un jour voir ma famille, il faut que j'y aille.

Alors passer une bonne journée.

kalhem leur envoya la main et parti de son côté.

*humm, j'espère que tous les gens ici son aussi sympathique et agréable.*