Concours de poésie

Bonjour, bienvenue à la première épreuve du concours de poésie. Tout le monde peut participer. Pour la première étape, il s'agit de composer un poème libre sur le sujet de votre choix, du nombre de strophes, de vers et de pieds que vous voudrez, et qui rimera comme bon vous semblera. Seulement un poème par joueur, et le poème doit avoir un titre. Lorsque les 11 inscrits auront postés leur poème ici, nous déterminerons du vainqueur par vote. Bien sûr, d'autres peuvent s'inscrire tant que l'épreuve ne sera pas terminée. Voici les participants:

Azarel
Nin D'Oskmor
Quentin
Mendosa de Cervantes
Sir Jean-Luc d'Escomtaphe
Xania
Sir Lycari
Flint Kedl
Maxence
Mickel Kedl
Silhana


L'épreuve suivante (qui sera la seule autre en poésie) sera sûrement la composition d'un poème en alexandrins ou d'un sonnet (poème à strucure fixe), mais ce n'est pas encore décidé. Il y aura un autre prix pour celui-ci.

Votre nom ne fait pas parti du sondage tant que vous n'ecrivé pas de poème

(A naej, ceci est mon vrai poème, je laisse tomber mon test lol)

Aimer

A la porté de tous et pourtant si complexe
Que de doutes et de certitudes
Si fragile est la décision
Un écart et on se vexe

Imaginé un idéal si grand
Qu’il puisse traverser l’épreuve du temps
Fédérer le bonheur a sa bannière
Et décorer le quotidien de sa présence

Maîtriser ses mots
Les assembler dans un puzzle de pensées
Façonner une œuvre verbale intense
Qui raisonnera jusqu’au dernier baiser

Entendre les complaintes lorsqu’elle sont inaudible
Prévoir les virages de l’amour et de la vie
C’est ce requiert cette plénitude
Mais que donnerait on pour voir cette flamme briller

Retenir ces émotions lorsqu’elles vous guident
Aveuglé par les lumières de l’amour se livrer
Et donner ce qu’on a de plus fort
AIMER

signé Templier (moi, Quentin)

Le poème que je donnerai, je le dédit à Myrina.

Solitude

Je contemple la terre ainsi qu'une ombre errante:
Le soleil des vivants n'échauffe plus les morts.

De colline en colline en vain portant ma vue,
Du sud à l'aquilon, de l'aurore au couchant,
Je parcours tous les points de l'immense étendue,
Et je dis: "Nulle part le bonheur ne m'attend."

Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières,
Vains objets, dont pour moi le charme est envolé?
Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères,
Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé!

Ce poème est appelé Vive la Liberté

Pardonnez moi si il est un peu long, je suis un barde dans l'âme.

Comment dire ce que je ressens
Une révélation qui fait trembler la terre
Plus forte que tout les éléments
Elle fait jaillir la lumière

C’est une main de titan
Qui détruit la misère
Qui étend les frontières
De mon petit univers

Le secret de la vie
Et l’espoir infini
Que jamais ne se meurt
Cette joie du fond du cœur

Que je ressens en moi
En cet ultime instant
Où je vois cette vérité
Où je comprends la liberté

Libre d’aimer
Libre de vivre
Libre de penser
Et de sourire
Libre de pousser
De grands éclats de rire

Et de crier
Au quatre vents
‘’ Vive la Liberté
Et Gloire aux vivants!’’

Gloire aux vivants
Gloire à ceux qui verront l’avenir
Et qui profitent du présent

Haine, Jalousie, remord!
Combien de victimes avez-vous fais?
Combien de ceux sous terre sont morts
par le trouble de vos excès?

Rancune, faux espoir!
Combien de malheur sur votre chemin?
Quelle tristesse pouvons nous voir
La ou la vie croisa votre destin?

Vous êtes des boulets à nos pieds!
Mais de vos étaux, Il faudra bien s’échapper!

Ne plus être entravé
Par ces liens trop puissants
Qui retiennent bien des gens!
Et qui les tiennent prisonnier!


Être libre comme l'air!
Comme les fragments de poussières!
Comme le sable dans le désert!

N'oubliez pas cet avertissement!!
Et comprenez mon message!
Restez vivant!
C'est la seule action sage!

Et Point ne devez vous préoccuper
Que l'herbe puisse sembler
Plus verte sous les pieds
De votre voisin: Vous vous y tromperiez.

Soyez libre et laissez les autres l'être, vivez avec votre coeur!

Et bien, félicitation à vous tous. J'ai hâte de voir tous les poèmes, et de connaître le vainqueur.

Le Soleil au Lac Noir



Misérable est l’aimant,
Plongeur aveugle de l’abysse tumultueux
De cette flamme inexplicable,
Ce brasier ardent planant dans les cieux,
Dont seul l’âme pure, extirpant de son corps
Les crochets du Lac Noir des larmes et des souffrances,
Pourra y trouver refuge.
Le jardin d’Éden des cœurs meurtris,
Tout comme le tourment des âmes en perdition.

Née des étoiles

Née des étoiles,
Anachorète sans foi,
Comme le repli de ce voile,
Que je nommerai solitude pour toi.

Petite nymphe du destin,
Perchée près de mon coeur,
Entre Lune et Soleil un pacte certain,
Grâce à toi ma vie est bonheur.

Née des étoiles,
Ma douce égocentrique,
Ma purement diabolique,
Ma toute simple et nouvelle étoile.

Tu chemines et tu trébuches,
Sur le fil qu'on a tissé pour toi,
Sur cette route semée d'embûches,
Déroulant la bobine jusqu'à piétiner les lois.

Parfois tu avances de volonté,
Tu rebrousses de peur et d'incertitude,
La voix d'un choix n'est jamais scellée,
Que ton auréole cesse de trembler d'inquiétude.

Adorable, née des étoiles,
Détestable l'instant d'une morsure,
Ma petite perfection de défauts et de mal,
En l'honneur de cette amitié qui dure.

Nymphe Solitude

Ô angoissante solitude, quand lèveras-tu ton poids,
Que de noires mains absurdes, appuient sans répit sur moi.
D’ombre est sertie la lune d’ambre,
Quand nul n’accompagne la Nymphe sombre.
Et cette torture lui en est encore plus une
Lorsqu’il apparaît que la Terre lui en veut jusqu’à la Lune.
Moi, la Nymphe Solitude, qui dans la nuit d’ébène m’allume,
Je n’attire rien que les lucioles, dont la compagnie je n’assume.
Ma lumière, condamnée à ne connaître de spectateurs, que moi,
S’éteindra un jour ou l’autre, sans causer chez autrui le moindre émoi.

Désolé, mais le sondage a été supprimé car tous les participant n'avaient pas posté leur poème. Il y a eu un malentendu entre modérateurs. Lorsque tous les poèmes auront été posté, ou presque tous (car il y a une limite à attendre), il y aura un vote.

Désolé encore pour ce mécontentement

Mais comme certain autre modérateur aime voir le forum avancé et priorise les joueurs actif le sondage recommencera le 5 mars, que tout ceux qui veule participé s'active, les joutte de doive pas duré 2 mois!!!

car les message augmente beaucoup moins vite en jeu depuis le début des compétition

J'ai écris ce poème sans vraiment réfléchir, j'ai laisser aller mon imagination qui parlait par la bouche de mon coeur. Ce n'est pas mon meilleur mais ça ferra l'affaire. Je ne donne aucun titre puisque je veut laisser le choix au personnes qui le liront de décidé de son nom. Le voici:

Les feuilles sont tombées,
Lentement, surement.
Les fleurs sont fanées,
Dans mon jardin d'enfant.

Un lieu, une époque.
Des pleurs et des rires,
Tourbillon de couleurs qui évoque,
De bien heureux souvenirs.

Au loin on peut entendre la douce mélopée
Qui autrefois me berçais tendrement.
Mais il y a une triste véritée:
Rien ne serra plus jamais comme avant.

Je me souviens encore de ses barbares,
Qui ont mis le feu à ma maison.
Qui sont arrivés tard, un soir.
Alors que ma mère donnait le biberon.

Cette même mère ils l'ont violée,
Après avoir assassiné,
Mon père bien aimé,
Jamais je ne pourrai oublier.

Moi, j'étais cacher,
Tout se temps mon regard était fixer
Sur la lame taché
Du sang de ma maisonnée.

Un autre, tout vêtu de noir
Est apparu, torche en main
Je me rappellerai toujours de se soir
Comme si aujourd'hui nous étions le lendemain.

Maintenant je vie ma vie
Sans me préoccuper de demain
J'essaye d'oublier mes soucis
Et d'affronter mon destin.

La mort me fais toujours peur
Parce que je n'ai pas su l'affronter
Ma vie est rempli de malheurs
Mais j'arriverai à la traverser

Je continue d'avancer,
Pas après pas,
Années après années
En leurs mémoires, pour leur trépas